Avant 2020, son travail consistait principalement de collages et illustrations. Dans ces œuvres, il a utilisé des pièces qu’il a déchiré, coupé ou arraché à des matériaux tels que des pochettes de disques, des billets de concert, des magazines, des photographies et diverses publications imprimées. Les œuvres d’art ont été créées en recombinant, en collant et en juxtaposant ces pièces et en représentant leurs relations ou leurs dissociations, leur intégrité ou leur division par la peinture ou le dessin.

Les œuvres de Başar contiennent des détails qui décomposent les textes en mots, la musique en sons et la vie en moments, tirant leur intégralité de ces parties. Ses peintures recherchent la nouveauté plutôt qu’une variété de formes et d’expressions, afin de ne pas être une répétition de ce qui existe déjà ou de ce qui s’est déjà produit.

Dans les vastes terrains de jeux colorés créés dans ses œuvres, on peut faire des rencontres, de Joyce jusqu’à Pythagore. Parmi ses œuvres figurent également des peintures qui s’interrogent sur la littérature, l’écriture ou encore la géométrie et les dimensions. De plus, il a créé des œuvres qui à la fois soulèvent des questions et invitent le spectateur à réfléchir et à s’interroger, incorporant des thèmes de problèmes sociaux, de la vie humaine, de la vie quotidienne et des relations dans ces œuvres.